mardi, 7 février 2017
http://gouvieux.dsden60.ac-amiens.fr/033-faq-lsu.html
Foire aux questions pour le LSU
Il n’existait pas jusqu’à aujourd’hui d’outil permettant de conserver la mémoire des acquis des élèves sur l’ensemble de leur scolarité. Par ailleurs, la durée de conservation des données par les éditeurs privés est limitée. Le LSU garantit donc la conservation des acquis des élèves sur l’ensemble de leur scolarité. Il permet d’assurer le suivi sans rupture (CP-3ème pour le moment) des acquis, progrès et difficultés, quelques soient les parcours et changements individuels.
Il est donc obligatoire mais, au quotidien, les enseignants peuvent le compléter via une application privée (Pronote, C’Prim, Sacoche, Edumoov…), s’ils ont l’habitude de les utiliser. Dans ce dernier cas, des « transferts » réguliers dans le LSU devront être réalisés. Bien évidemment, nulle obligation d’acquérir une suite applicative payante. Une saisie directe est possible. L’application permet l’édition papier, si besoin est.
Oui, il s’agit d’une application nationale unique de suivi des acquis scolaires. On peut la renseigner directement (saisie manuelle). On peut aussi utiliser un logiciel tiers (import) ; la plupart d’entre eux (Pronote, Sacoche, Cerise, etc.) proposent des outils de suivi et d’édition des bulletins périodiques, en adéquation avec le décret du 31/12/2015.
Cependant, l’usage de ces applications privées ne dispense pas les directeurs d’école ni les chefs d’établissement à procéder de façon régulière à une bascule dans le LSU.
Les établissements scolaires sont libres de gérer le processus de numérisation des éléments constitutifs du livret scolaire mais ils sont contraints de s’assurer de leur capacité à les transférer dans l’application nationale au moment où l’élève s’apprête à quitter leur école ou leur collège et en fin de cycle.
Les éditeurs privés n’ayant pas les mêmes durées de conservation des données, il n’est pas souhaitable que les écoles et les établissements se retrouvent dans l’obligation de saisir des données qu’elles n’auraient pas transférées l’année précédente. La prudence justifie donc un renseignement régulier de l’application nationale (à chaque période, en fin d’année).
Novembre 2016 version 2 : Le paramétrage pourra être affiné par classe : import depuis Sconet Notes pour certaines classes, import depuis un logiciel privé pour d’autres classes. En revanche, pour une classe donnée, la source de données reste unique.
Février 2017 version 3 : recueil d’attestations.
Avril 2017 version 4 : Bilans de cycle.
La liste des éditeurs ayant manifesté un intérêt auprès du ministère (Prise de contact), ou s’étant engagés dans la procédure de validation (En cours de validation), voire ceux ayant déjà une solution validée par le ministère (Validé) se trouve à l’adresse suivante : http://eduscol.education.fr/cid108536/interface-editeurs-avec-les-applications-nationales.html.
Le LSU est un outil de suivi et de validation. Ce qui est transmis dans le LSU est considéré comme définitif à un instant T et n’a pas vocation à être modifié (ce qui supposerait un retour vers un éditeur privé). C’est aux enseignants de prendre l’habitude de consulter le LSU en début d’année.
Le LSU s’impose à tout établissement sous contrat. Seuls les établissements sans contrat ne sont pas dans l’obligation légale d’utiliser le LSU.
Une refonte des responsables légaux est en cours.
Il s’agit bien d’identifier en équipe la notion de niveau d’atteinte d’objectif d’apprentissage par domaine d’enseignement en le différenciant de l’acquisition de la compétence. Ce sera un objet majeur du renouvellement des pratiques d’évaluation sous-tendu par la réforme.
On peut ajouter/modifier/enlever les éléments de programme travaillés, mais afin de ne pas faire un « bloc » sur le livret, comment choisir les éléments à afficher ?
Il faudra se concerter en début d’année afin de définir l’objectif de ces éléments : communication vers les parents, communication vers les enseignants …
Les éléments de programme indiquent ce qui a été travaillé dans la classe durant la période, avec la possibilité d’indiquer des éléments spécifiques par élève, si on le souhaite.
C’est dans la partie de texte libre, intitulée « Acquisitions, progrès et difficultés éventuelles » que l’enseignant fait apparaître la notion de progrès de l’élève.
Un décloisonnement des enseignants est-il possible (exemple : un enseignant enseignant de CE1 enseigne l’histoire en CM2) ?
Le directeur devra renseigner le module écoles « modifier classes » dans BE1d en indiquant le nom de chacun des enseignants intervenant dans la classe puis synchroniser.
Cela n’est pas prévu actuellement. Néanmoins, cette demande est motivée par le souhait, dans une école de grande taille, de saisir en une seule fois des éléments de programme, des descriptions d’EPI, de parcours… lorsque plusieurs classes ou groupes sont concernés.
L’UPE2A est un dispositif, pas une classe. Dans l’état actuel de l’application, les élèves d’UPE2A devraient être inscrits dans leur classe ordinaire de référence et l’enseignant affecté par le directeur, dans BE1d, sur chacune des classes auxquelles sont rattachés les élèves.
Second degré
Sur le cycle 3, il est question d’un enseignement de sciences et de technologie, ce qui devrait permettre de faire apparaitre une appréciation collective.
La question est en cours d’étude.
Question en cours d’étude
Oui
Non, un seul type de positionnement est possible pour une classe.
L’établissement d’origine transfère les bilans en sa possession. Ils sont enrichis, s’ils ne sont pas verrouillés, par l’établissement d’accueil.
Il n’y a pas d’écrasement des données mais enrichissement. Le LSU garde la mémoire des différents bilans périodiques et de cycle.
Peut-on utiliser le copier-coller lors de la rédaction des bilans ?
Oui, c’est possible.
La nécessité d’enregistrer manuellement (icône disquette) après chaque saisie permet d’éviter des saisies multiples et contradictoires dans l’application. Le principe d’un enregistrement automatique, par exemple au bout d’un temps donné, ne semble pas souhaitable.
Question en cours d’étude.
Les icônes « modifier » et « enregistrer » ne sont pas intuitives. Une aide à l’utilisation est-elle envisagée ?
Question en cours d’étude.
Dans le cas de la saisie individuelle, ce serait contradictoire.
Dans la saisie collective, dans l’état actuel de l’application, celle-ci n’est possible que par groupe ou classe saisie par le principal dans la composition de son établissement, ce qui est déjà facilitateur.
La version 17.0 du LSU (installation prévue début février) intègre la saisie collective des éléments de programme par groupe et/ou par classe entière.
Question en cours d’étude.
Question en cours d’étude.
L’application est accessible à partir du portail ARENA. L’identifiant et le mot de passe sont ceux du compte de messagerie académique.
L’accès à partir d’internet se fait sans clé OTP pour les enseignants.
Les pré-requis sont :
Cela n’est pas possible. Le socle étant commun, il est important que les modalités de positionnement et de communication vers les familles soient partagées entre les équipes d’une même classe et donc définies en concertation.
La fonctionnalité permettant de saisir la maîtrise des acquis du Socle commun n’est pas encore publiée. Néanmoins, l’évolution sera visible à travers la consultation des différents bilans.
Ce point est en étude par la DNE.
Dans l’application LSU, seules les classes dites « ordinaires » sont actuellement importées. Les ULIS ou UPE2A sont des dispositifs.
Or, dans les départements, il a été donné comme consigne aux directeurs d’école de saisir les élèves d’ULIS dans une classe « spéciale ».
Dans l’attente d’une éventuelle évolution de l’application, il conviendrait de saisir les élèves d’ULIS dans leur classe ordinaire de référence et d’affecter l’enseignant de l’ULIS à chacune des classes auxquelles sont rattachées leurs élèves afin de pouvoir saisir dans LSU.
Les élèves en doublon (déménagement, désaccord familial, etc…) ne pourront apparaître dans le LSU qu’après leur régularisation dans BE1d.
Certains directeurs n’ont que « paramétrage du type de positionnement ». A qui doit-on s’adresser pour changer les droits d’accès ?
Si le directeur n’a pas accès au paramétrage des périodes, c’est que les droits ne lui ont pas été affectés dans SOLARIS. Il s’adresse à son inspecteur de circonscription, en copie au CTICE.
Selon le cas, cette nouvelle affectation de droits sera réalisée soit en circonscription, soit à la DSDEN.
Le ZIL ou le brigade remplaçant un directeur ou un enseignant en congé de maladie aura-t-il les mêmes accès que la personne en congé ?
Selon l’affectation du remplaçant du directeur (brigade départementale ou remplaçant local), les droits doivent être donnés via l’application SOLARIS. Selon les départements, il conviendra de vérifier préalablement l’accès SOLARIS des inspecteurs du premier degré.
Question à l’étude.
Il est possible d’utiliser un éditeur différent par classe (Sacoche classe 1, Pronote classe 2). Par contre, pour une classe, il n’est possible d’utiliser qu’un seul éditeur.